Les déçus d'Internet reviennent vers les agences matrimoniales
On aurait pu croire que l'arrivée des sites de rencontres, en 2001, allait signer la fin des agences matrimoniales. Il n'en a rien été malgré les 2.000 sites actuels. Si les plus faibles d'entre elles ont disparu, les plus sérieuses ont toujours pignon sur rue.
« Moins de 9 % des couples se sont connus sur Internet, les sites étant utilisés pour des relations occasionnelles, avec une moyenne de trois mois, voire sexuelle », explique Patrice Huby, à la tête des deux agences Fidelio : celle de Blois depuis 19 ans, celle de Tours depuis 13 ans, qui ont affiché une progression de 8 % en 2016 par rapport à 2015.